9 juin à 14h30
Rossignol à la langue pourrie,
de Jehan-Rictus.
Avec Agathe Quelquejay
Mise en scène : Guy-Pierre Couleau.
La Compagnie des Suricates
« Rossignol à la langue pourrie » est un seul en scène autour de textes de Jehan-Rictus, auteur français du 20ème siècle. Nous suivons le parcours de personnages colorés, de 7 à 60 ans, tous confrontés à une forme de violence, physique ou verbale. La langue argotique utilisée n’en est pas moins drôle et légère, les octosyllabes dictent une certaine cadence et rythment des propos livrés dans une vérité crue.
13 juin à 14H30
Ma vie rêvée,
de Peter Dervillez.
Avec Elisa Birsel, Aurélien Boyer, Peter Dervillez, Kevin Messager,
Mise en scène : En cours
Cie Quelle Histoire
Rêver sa vie ou vivre ses rêves ? Nicolas est confronté à ce choix lorsqu’il est sur le point de perdre Juliette, la femme de sa vie. Il va tout faire pour reconquérir cette amoureuse de théâtre classique, dans ses rêves, à travers les plus grandes scènes de théâtre, mais aussi dans sa vie où tout part en éclats. Le tout avec l’aide d’un ami plutôt inattendu du nom de Shakespeare… Rien que ça.
13 juin à 16h30
Le glaive et le givre,
de Fred Lecat
Avec Fanny Cabon et Fred Lecat
Mise en scène : En cours
Cie Les Lilas
Un homme attaché à une chaise. Face à lui, une femme qui l’accuse de viols. Elle dit représenter un mystérieux collectif qui rend sa justice. Débute une étrange garde à vue où tout semble hors du cadre de la loi. L’accusé n’a d’autre issue que d’être son propre avocat pour prouver son innocence. Un jeu de chat et de souris dont on ne sait qui est le prédateur. Entre la Team Moore et Dexter, une pièce sur la notion de vengeance et de présomption d’innocence sur fond de violences sexuelles.
15 juin à 14h30
Je ne sais pas qui je suis mais un jour peut-être,
de Solène Zantman
Avec David Maison, Mathieu Reverdy, Gisèle Worthington, Solène Zantman et la participation de Chadia Amajod
Mise en scène : Solène Zantman
Cie Des cactus et des étoiles
Une chanteuse, un spectateur, une journaliste et son caméraman. Quatre personnages comme quatre solitudes qui se croisent dans un obscur cabaret. Coincés dans la place qu’ils occupent, des prises de conscience s’opèrent. Jusqu’à ce qu’ils se rencontrent.
L’exploration de leur réalité, de leurs désirs et de leurs frustrations nous questionne sur notre degré d’humanité et sur la construction de notre identité.
Une tragicomédie de la condition sociale à la fois intimiste, décalée et poétique.
15 juin à 16h30
Les enfants du diable,
de Clémence Baron
Avec Clémence Baron et Julien Grisol
Mise en scène Patrick Zarde
Cie FAMILY Francis Grisol & La Baronnerie
Bucarest 2009, 20 après la chute des Ceaușescu et la découverte des orphelinats-mouroirs, Niki et Veronica, un frère et une soeur que tout oppose, déchirés par leur passé commun, se retrouvent une nouvelle fois unis par un drame. Une nuit c’est rapide pour réparer une vie, une nuit c’est cruel à l’égal du temps qui passe, une nuit pour envisager une vie. Comment une fratrie caractérisée comme « Les Enfants du Diable » peut-elle s’affranchir de son passé ?